Récemment, une approche de dialogue a été largement répandue, dans laquelle la culture est considérée comme une réunion de cultures (Bibler).
La science culturelle moderne se forme, sortant des soins parentaux de la philosophie, acquiert son propre sujet de recherche et justifie les méthodes qui lui correspondent. Tout dabord, un culturologue traite des résultats de lactivité culturelle (objets, produits, créativité culturelle musique, peintures, par exemple), mais sa tâche est dapprofondir dabsorber lesprit de culture (mentalité, paradigme culturel), peu importe de quelle position théorique il adhère. Dans ce cas, la deuxième couche de la culture de la culture est révélée: il sagit du niveau de communication, des instituts déducation et déducation. Et, enfin, la base même de la culture, son noyau, son archétype est la structure de lactivité culturelle. Différents chercheurs lidentifient de différentes manières: avec la langue, la composition psychologique de la nation et la voie de la sacralisation, le système de symbolisme adopté, etc. Dans tous ces cas, le pathos de la recherche culturelle reste inchangé intégrité, base dintégration de la société, prise en compte de lhistoire comme intersection de lexpression créatrice du moi et développement de la tradition culturelle dans lespace spirituel du groupe ethnique.
La culturologie, si elle prétend être une discipline scientifique et son propre sujet de recherche, se tourne inévitablement vers larchéologie de la culture, révèle sa genèse, son fonctionnement et son développement, révèle les voies de lhéritage culturel et de la durabilité, le code du développement culturel. Ce travail est effectué à trois niveaux:
la préservation de la culture, ses fondements fondamentaux, cachée derrière la coquille verbale et symbolique;